Prothèse de marche active, Louvain Bionics. © CDB
Prothèse de marche active, Louvain Bionics. © CDB

L’union fait la bionique à l’UCL

13 novembre 2014
par Christian Du Brulle
Durée de lecture : 1 min

Des ingénieurs, des orthopédistes, des neurologues, mais aussi des psychologues, des informaticiens, des gynécologues, des prothésitses, des kinés, des spécialistes en imagerie… Le nouveau Centre d’expertise en robotique médicale (Louvain Bionics) qui vient de voir le jour à l’Université Catholique de Louvain (UCL) mise sur la complémentarité de nombreux profils pour être à la pointe en bionique.

 

“Au sein de ce Centre, nous nous intéressons en priorité à la problématique du mouvement”, indique le Pr Benoît Raucent (Ecole polytechnique de Louvain). “Et selon trois axes précis”.

 

  1.  Mieux comprendre le mouvement chez l’être humain.
  2. Améliorer la réadaptation des patients, grâce, par exemple, à la mise au point d’une prothèse robotisée.
  3. Développer des outils d’aide chirurgicale pour les médecins.

 

L’interdisciplinarité qui caractérise les recherches menées au sein de Louvain Bionics devrait permettre d’enrichir les contacts entre ingénieurs, neuroscientifiques et médecins. De quoi mener des recherches plus concises et plus rapides et pourquoi pas… faire mûrir quelques spin-offs au passage.

 

A l’instar d’Axinesis qui a déjà permis le développement du robot REAplan et l’exosquelette Afrexos. Ces deux outils permettent au patient cérébro-lésé de réapprendre à bouger certains membres après un accident vasculaire cérébral.
 
 
Louvain Bionics en quelques mots

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