Spams, virus, chevaux de Troie, vols de mots de passe ou de données bancaires: sur Internet les scientifiques aussi sont victimes d’arnaques. “Les cybercriminels jouent le plus souvent sur trois registres pour obtenir de leurs victimes des informations qu’elles ne sont pas prêtes à leur donner”, explique Olivier Bogaert, Commissaire à la Police judiciaire fédérale,