Vivant - Page 37

30 novembre 2018

La moule perlière reprend quelques couleurs en Ardenne

Les moules n’aiment pas que les eaux saumâtres. Certains ruisseaux d’Ardenne en recèlent également. « En Wallonie, depuis 2017, 80 moules perlières de moins de 15 ans ont été observées dans un ruisseau de la forêt d’Anlier », rapporte Natagora. « Une observation exceptionnelle pour cette espèce en danger critique d’extinction qui ne s’était plus
27 novembre 2018

Prévenir, détecter, gérer les abus sexuels envers les enfants

À tout âge, dans toutes les classes sociales, un enfant peut être abusé sexuellement. Les filles sont beaucoup plus concernées que les garçons. Dans 80% des cas, le coupable est un parent ou un familier. Il se limite rarement à une seule victime. Les psychiatres infanto-juvéniles Emmanuel de Becker et Jean-Yves Hayez publient leurs réflexions
22 novembre 2018

Les tigres à nouveau en Belgique

Il ne s’agit évidemment pas du mammifère mais de son homonyme ailé à 6 pattes. Aedes albopictus ou moustique tigre n’avait plus fait parler de lui en Belgique depuis 2016. L’insecte est cependant sous haute surveillance. Les chercheurs de l’Institut de médecine tropicale (IMT) d’Anvers et leurs partenaires surveillent 23 points d’entrée potentiels de cette espèce et
20 novembre 2018

Les mécanismes neuronaux de l’attention visuelle sélective mis en lumière

Ce que nous voyons n’est pas seulement déterminé par ce qui est vraiment devant nos yeux. Le traitement de l’information visuelle dans notre cerveau est aussi modulé… par notre propre comportement. En d’autres termes, ce que notre cerveau capte comme information visuelle est également déterminé par le fait que nous soyons attentifs ou non, émus,
14 novembre 2018

Les potagers urbains attendent un nouveau printemps

« De nombreux potagers urbains disparaissent et ceux qui apparaissent sont plus petits et plus éphémères », constate le Dr Chloé Deligne, chercheuse F.R.S.-FNRS et professeur à la Faculté de Philosophie et Sciences sociales de l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Son constat: Sans être l’élément principal de leur fragilité,  l’engouement de ces dernières années pour
13 novembre 2018

Un réchauffement de plus de 1.5°C liquéfierait irrémédiablement les calottes antarctique et groenlandaise

Limiter le réchauffement de la planète à 1,5°C d’ici 2100 est impératif pour les calottes polaires qui recouvrent l’Antarctique et le Groenland. Et il est peut-être même déjà trop tard… Voilà en substance les conclusions d’une recherche internationale à laquelle plusieurs chercheurs belges ont contribué. « Un réchauffement de la planète de plus de 1,5°C pourrait
12 novembre 2018

À Gembloux, les légumes ont les pieds dans l’eau

Trois laitues sur quatre consommées en Belgique poussent… les racines dans l’eau. Et c’est aussi le cas d’une grande partie des tomates. Cette technique de production, l’hydroponie, induit une faible consommation d’eau. Mais une grande quantité d’engrais chimiques. Il existe pourtant une autre technique plus respectueuse de l’environnement : l’aquaponie. Promouvoir cette méthode auprès du
Charles Debois (UNamur).
9 novembre 2018

Des chênes plutôt que des épicéas pour sauver les forêts wallonnes

Trous de perforation sur l’écorce avec expulsion de sciure et éventuellement écoulement de résine, roussissement des aiguilles, décollement ou perte de fragments d’écorces… L’année a été catastrophique pour les épicéas en Belgique.  « Rien qu’au domaine d’Haugimont appartenant à l’Université de Namur et situé dans la commune de Gesves (Faulx les Tombes), nos épicéas ont souffert
6 novembre 2018

Depuis douze ans, Iasi renifle les polluants atmosphériques

« On en parle davantage, car on connait de mieux en mieux son impact sur la santé. Mais en réalité, la pollution en Belgique a plutôt tendance… à baisser ! » Le Dr Cathy Clerbaux travaille depuis le début de sa carrière de chercheuse sur le sujet, aujourd’hui avec une  douzaine de chercheurs du Service de chimie quantique
Surveillance de la moule indigène en Wallonie. © SPW/DEMNA
31 octobre 2018

Dans la Meuse, les espèces exotiques représentent 50% des espèces indigènes

Depuis des siècles, l’Homme déplace des espèces. Et ce, autant dans un but alimentaire que commercial, ornemental voire de manière involontaire en transportant des organismes à son insu. Si bien qu’aujourd’hui, plusieurs centaines d’espèces de poissons d’eau douce baignent hors de leur région aquatique d’origine. En moyenne, elles ont entraîné une augmentation de l’ordre de
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