
A l’école, les cours d’allemand n’ont plus la cote
Les statistiques sont formelles. L’allemand n’attire plus les têtes blondes de l’autre côté de la frontière linguistique. C’est ce que démontre une étude menée par la Vrije Universiteit Brussel (VUB) à partir des données de l’Annuaire statistique de l’enseignement flamand. En Fédération Wallonie-Bruxelles, comme on le lira plus bas, la situation est sensiblement identique.