L’IA du futur s’inspirera davantage du cerveau
Si elle se révèle excellente pour toute une série de tâches spécifiques, l’intelligence artificielle (IA) pèche par manque d’adaptabilité. Notamment en vue du développement des interactions entre humains et machines. Pour y remédier, Dr Guillaume Drion, ingénieur électricien détenteur d’une thèse en neurosciences (ULiège), cherche à s’inspirer de la neuromodulation, un processus biologique responsable de