
L’imagerie médicale fait parler les morts
Aux Cliniques Universitaires Saint-Luc, à Bruxelles (Université Catholique de Louvain), 350 corps passent chaque année sur les tables d’analyse du service de médecine légale et anatomie pathologique. Il s’agit, notamment, de comprendre un décès lié à une intervention chirurgicale ou encore d’aider le système judiciaire à faire la lumière sur un meurtre ou une mort