Dix-huit moules, deux énormes nénuphars et un poisson, tous parfaitement artificiels et bardés d’électronique, viennent de barboter pendant plusieurs heures dans la lagune de Venise. En surface, du côté de l’arsenal, une équipe internationale de chercheurs, dont le Dr Alexandre Campo, de l’Université Libre de Bruxelles (ULB), suivait de près leurs déambulations. « Il s’agit du