Depuis des milliards d’années, elle opère le même voyage à travers le globe. Par l’action du Soleil, l’eau présente sur Terre se transforme en vapeur, jusqu’à former des nuages.
« Aujourd'hui, la recherche sur le climat est déjà menée au sein des établissements scientifiques fédéraux. Mais elle est rarement prioritaire, et elle manque de coordination. »
Le projet Katabata vient de faire un pas en avant. Du moins scientifiquement parlant. L’idée est d’alimenter l’Europe en carburants synthétiques (notamment du méthane) liquéfiés produits grâce à l’énergie éolienne et au départ de CO2 atmosphérique. Et d’ensuite les transporter par bateau du sud du Groenland jusqu’en Europe. Pour élaborer ce projet, Damien Ernst et
Les espèces invasives ne sont pas toutes dotées du gigantisme de la berce du Caucase. Certaines sont minuscules, mais provoquent, malgré tout, des ravages. C’est le cas de Batrachochytrium salamandrivorans, de son petit nom Bsal.
Si les différences de richesse en espèces végétales entre les zones tempérées et tropicales ont été bien étudiées, celles entre les régions tropicales elles-même sont encore peu explorées. De ce constat, une étude internationale dirigée par deux scientifiques de Gembloux Agro-Bio Tech (ULiège) s’est attelée à comparer les flores arborées d’Amérique latine et d’Afrique tropicale.
Le Soleil n’est pas une boule de feu placide. Il peut, de temps à autre, se transformer en furie. On parle de super-éruption. Ce phénomène extrême peut se produire n’importe quand. Après-demain, dans 6 mois, dans un siècle. Les impacts sur Terre de ce tsunami solaire seraient cataclysmiques. Il se distinguerait des perturbations solaires habituelles,
Voilà un an, l’est de la Belgique était frappé par des inondations catastrophiques. Mesurer la pesanteur et les vibrations sismiques du sol permet d’observer de tels événements extrêmes. Et de mieux les comprendre. C’est ce que vient de démontrer une équipe de chercheurs menée par Michel Van Camp de l’Observatoire royal de Belgique. Et ce,
Avec des vents d’environ 360 kilomètres/heure, les courants d’air rapide (jet-streams) qui tournent autour de la Terre à quelque 10 kilomètres d’altitude jouent un rôle crucial sur la météo et le climat de la planète. Dans l’hémisphère Nord, le jet-stream fait office de mur, empêchant les masses d’air chaud de l’équateur de pénétrer dans l’Arctique,
Les couleurs de l’océan, le niveau des mers, mais aussi les vents, la température, les échanges avec l’atmosphère… Tous ces éléments surveillés par des engins spatiaux révèlent aux chercheurs l’état de santé de la planète bleue et l’ampleur des gigantesques phénomènes qui s’y déroulent. À l’Université de Liège, la Dre Aida Alvera-Azcárate, du groupe de
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OK