Au Canada, les jardins-forêts des indigènes Kitselas sortent de l’oubli
Même sur une terre acide pauvre et si perméable qu’elle ne retient pas l’eau, il est possible de cultiver sans avoir recours à des intrants externes. Du moins si l’on est patient et curieux d’innovations visant la circularité des nutriments. C’est la leçon que l’on peut tirer des résultats préliminaires d’une recherche mêlant archéologie et