Une exposition aux perturbateurs endocriniens affecte les générations futures
Même à très faibles doses, pesticides, phtalates, bisphénols et autres perturbateurs endocriniens nuisent, notamment, à la reproduction. L’équipe de Anne-Simone Parent, médecin pédiatre au CHU de Liège et investigatrice principale du laboratoire de neuroendocrinologie au GIGA (ULiège), vient de montrer que leurs effets délétères se répercutent au moins jusqu’à la troisième génération descendant d’une rate