À Fleurus, on vient de dire au revoir à l’uranium hautement enrichi
Dès aujourd’hui, l’Institut des radioéléments (IRE), installé à Fleurus, n’utilise plus d’uranium hautement enrichi pour produire ses radio-isotopes médicaux. Après une dizaine d’années de R&D, la production se fait désormais au départ d’uranium faiblement enrichi. Une avancée stratégique, qui répondait à un souhait des États-Unis. Fournisseurs de l’U-235 utilisé à l’IRE, ils souhaitaient voir diminuer