
À Mons, les cartes électroniques ont du nez
Comment mieux surveiller la qualité de l’air d’un local, d’une usine, d’une cuve ? En multipliant les types de capteurs pour simuler le sens de l’odorat et concevoir un véritable « nez électronique ». C’est le projet de spin-off de l’Université de Mons sur lequel travaille Jérôme Schruyers depuis déjà un an. Un projet pour